Abhandlungen zur Geschichte der Mathematik.

Apres l'emploi exclusif du calcul fractionnaire sous la forme des nombres concrets la phase suivante du calcul des fractions abstraites est representee par les quantiemes. ) Il n'y a que celles-ci qui soient a la portee des calculateurs de ces temps la de tout le domaine des fractions abstraites. Toutes les autres se fondant pour la forme avec les nombres entiers, si elles apparaissent meme au calculateur de l'epoque en question, c'est sous une forme si vague pour la raison qu'elle exclue toute possibilite d'op6rer dessus des. regles d'arithmetique, en dehors du calcul des nombres concrets. I1 en resulta le besoin d'exprimer le quotient en quantiemes, en cas d'un reste obtenu. Alors qu'on en etait a la connaissance primitive des fractions abstraites sous la forme qui leur etait propre et qui ne dependait pas du calcul des nombres concrets, le proces servant a exprimer la partie fractionnaire du quotient au moyen des quantiemes ne pouvait avoir lieu que d'apres un scheme fourni par le calcul des nombres concrets. Tel fut le procede de la division d'un nombre concret par un nombre abstrait. Une fois qu'on y arrive a un reste moindre que le diviseur on est bien force de reduire ce reste en unites concretes des ordres inferieurs, afin de pouvoir continuer 'operation. Le meme procede applique a la division des nombres entiers abstraits en rendait evidemment possible la suite du proces apres qu'on eut obtenu un reste moindre que le diviseur. Dans ce cas le procede examine consistait a transformer le reste obtenu en des subdivisions de l'unite dont le nombre excederait le diviseur. Nous chercherions en vain, a l'appui de ces reflexions, des indications directes dans le peu de documents que nous offre la litterature mathematique des epoques correspondantes. Nous croyons toutefois pouvoir les admettre comme les seules qui s'imposent imperieusement a quiconque ait observ e le calcul fractionnaire dans sa marche primitive et detaillee. La forme du procede en question etait donc ainsi concue: le dividende inferieur au diviseur ou le reste obtenu par 'action de diviser, etait multiplie par le moindre des nombres dont les produits avec lui excedent le 1) V. BOBYNIN, Esquisse de l'histoire du calcul fractionnaire. Bibliotheca Mathematica 1896, p. 97-101. 1*

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Title
Abhandlungen zur Geschichte der Mathematik.
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Publication
Leipzig,: B. G. Teubner,
1877-99.
Subject terms
Mathematics -- Periodicals.
Mathematics -- History.

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"Abhandlungen zur Geschichte der Mathematik." In the digital collection University of Michigan Historical Math Collection. https://name.umdl.umich.edu/acd4263.0003.001. University of Michigan Library Digital Collections. Accessed May 1, 2025.
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