Théorie et applications des équipollences, par C. A. Laisant.

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SECONDE PARTIE. - CHAPITRE IX.

simple, en tracant sur 001 comme base le triangle
isoscele OQO dont l'angle au sommet Q est egal a o..
S'il s'agit d'un mouvement infiniment petit, le point iQ
prend le nom de centre instantane de rotation, ct la
formule (2) devient alors
~ d\
(3) Q x
229. Considerons maintenant le mouvement continu
d'une figure plane. Soient M la position prise, a 'instant t, par le point qui coincidait d'abord avec l'origine 0, et X l'angle total dont a tourne la figure a cet
instant t.
Nous voyons, d'apres le numero precedent, que si
nous appelons 0 le centre instantane de rotation, nous
aurons
Mf -( i d13,
d\
~(4-1~) (2= —Al -L- Id
Cette equipollence, oh lii et ) sont fonctions du
temps, nous represente le lieu des centres instantanes
sur le plan fixe.
Si nous ramenons la figure mobile a sa position initiale, en supposant qu'elle entraine avec elle le point t!
et que celui-ci vienne ainsi en A0, le lieu des points A,,
sera evidemment donne par l'equipollence
(,) ) l= ' - -
Nous avons ainsi ramende a l'origine le lieu des
centres instantanes lies a la figure mobile.
Le roulement de la courbe (5) sur la courbe (4) represente le mouvement.
Un point ayant Xo pour position initiale et entraine