Les étapes de la philosophie mathématique, par Léon Brunschvicg.

LES pDIFFICULTEÉS DE. L'INTERPRET TION ANALYTIQUE 397.
simple souvenir historique. La pensée de Leibniz s'est monirée
directement effiicace, come celle d'un contl.mporai. C'est en
étudiant sinmuianémient, en découwvrant même à cerlains regards,
la philosophie analiytique et iogiqueC de Leibniz, que MU. u ssetl
et Mi. Couiurat, don't les premiers travau.x 6ta-sien iispirés de
1 intuitilonismc anaictin, se sont convelris au panlogisme. D'auire
part, la renaissauce des études lesibmniiennies a e11 cettle conséquence iqe touc tes s discussions soulevées. par l'iaterprtaiiîoi
nouvelle des matihmatiques se sont développées a traverts les
orrmtales usitles )par Libntiz et Kanlt. Et nous devo ins sister sur
ce point car datss des Vcontrovserses déj obscurcies pr l d'iévitables -référenrc à des thèses d'ordre oral et religiex, qui
ont& les 'corollaires, o me élie ls - ies pricips chés, des spIculaiions abtsi.raltes, i'inetrventiion constante de il'bistoir, ltusage et
t'abs des L lotions é uivoqu'es d'u.ualv se et ue sjvnthè:s8 e dvaicnt
apporter di nouvele'S causes de (ccomprI icat.ios e, dr ci ua:si0ns.
-cesij- confusions, 'a.ixqueiles & (onudui.ltt i"amas d-es soveMr's et
de os.ioris hi iqut- u, uune étude plus dsinateresséde Ve lhistoire per net de, es distaiper. Leibniz lui-m xme ne les avait-il pas
pr'é'venus, iorsqu 'i dcmandal t qu on distin-giut la ~ division en
parties I> et la ~ resolution. en notions ~'. De, fait, nous lavo-ns
vu, F'inalyse que Kilt juge insufisalte es t-a diuiji eian Paties^
quit extrait dl sujeit le. présdicatc. o u'mrt d'un ( rp corpcmpost in
i-i eut simtspei; i'an:nalys que LI'bni-z J.ies-'u linai 'est
réesofti n cr notions, qui t par;iir d'urle p tropjoition doxnne poulrsuit à i'infini la r'echchei, des ico xditiUion dni d;pe.d ita véfit.
de cette p ito. Du oie toopoii o u Dt) oin de ue 1i di is dux
doct.rines ne sauraient étr opios'es >aiic qli'eie 7;-on' ont pas cn
r'éaité de com mulne meslurei. ]' au'r parl, le l: i.e sel'
lequel le kantisme cMh'- eiffdtiviri..nI ea n rconuit iv;e. c e ibniiatisme, e-i le p"i'''me ru ~x 'apt di a f-tllW ".",symiboles c inusl (ies: ippor.s i; t,- lligiblesii;.At. a 'puie,,é:cossité de lu;t ma.Utiil.m:ai.it, i;e au.t!^ fo,;::)r\.,es die l'"-x i}'j'elnc c pi;Si. - > C' ( id0 t1 'htMù',( U' N CiO t'fïi- ' r a - X 'i4l', l 1, "
stibe. iOn e t don':e ea p:re stiice d'une question de iél.aph} sil u'e
s Ui t ' n mfllt si. i|. I i e,..'' c sta' i..s:, t, il s au,é
i,'u d raqur que. ogiistiquC es't s,. r ce f:i pus 5 ~ oi —t. t,. 1Itl q':: _.'?i,.:. t:;.i.'ê-.:e. 'e to.:,i:., Non isef leme'; '
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