Babyloniaca, études de philologie assyro-babylonienne.

82

82 t~~~~~. C0NTENAt

quie publia -Meissnaer, mais la traduction donne'e par le P. Scheil, texte,
et noms propres, est la seule dont il faille faire 6tat.
En 1918, dans la Revule d'Assyriologie (t. XV, pages 65-73), ii
donnait le fac-si-mi1, la transcription et la traduction de deux
Iiabiettes de Kierlidoul qui sont des contrats. Ii y joignait la reproduction, des empreintes des cylindres.
Le Rectteil des Inscriptions de 1'Asie Ante'ri'eure des ]Jiuse'es roycutx
dit. (inqutantenaire a' Bruxelles die M. L. Speleers (Bruxelles), 1925,
enl contient deux assez mnutil6es, (nos 309 et3 310).
Je viens tie pululier dans le -volume Contrats et leltres dI'A~ssyrie
et die Babylonie,' quii constitue le tome IX des Textes Curu~iformes dn
Musl11e dn Louvre (1926), -sons les num~ros I. 'a 46, les fac-similks de,
46 tablettes, on fragmen ts de cette provenance. Dans le lot figurent
les deux tablettes de la Revute dI'Assyrioloyie entr6es depuis-pen an
Louvre. Cette s6rie appartient 'a celle des coutrats, comume les autres,
tablettes 6dite'es juscln'ici.
On doit It M. THUREA-U-IDANGIN, sons Je titre fliablelte die Samnarra,
dans la -Revue d'Assyriologie, t. IX, 1912, p. 1, Ia reproduction
photographi~que, transcription, traduction et commentaire d'une
tabiette cjui pour n'e'tre pas tie Kerkouk, appartient at la rfgion
Samnarra est sittu6e sur le- Tigre.
Cette tablette, conserv~e an Louvre, petit 6tre datee, par son 6criture, tie la fin de. la dynastic. d'Agratk (XXVIIIO s.);les caracteres
enl sont- archafques avec quelques particularit6s. Nous y voyons mentionn6s les pays d'Urkis' et de Nawar 'a placer, d'apr~.s lc lien d'origaiue
de la tablette, sur la rivc gauche tin Tigre entre le Zab iuftirieur et
la Divala. Namar- et Urk-is nones sont -dtijat coniius, par Ics tahiettes
de. Drehem. Nous trouvons daus, la tablette de Samarra trois personnages qmi se norn imelit A-ri-si-eu (Arisen), Sa-tdar-ma-at (Sadarmat),
Sa-um-si —enl (Saumisen), qui sont, an momns pour le premier et le
troisi~me, de frappe mitanniemine attesttie.